Biométrie: analyse de données pour les sciences biologiques.

*Travail en cours*

Pour éviter d’interpreter les données n’importe comment, les statistiques sont indispensables.

(Tests D à U = 1 variable)

Test par permutation (D)

Ce test a pour but de comparer les moyennes de deux groupes et nous permet de déterminer si (a) la moyenne des deux groupes est identique (variations aléatoires autour d’une même moyenne) ou (b) si les traitements effectués produisent une ou des différences dans la variable mesurée.

Ce test requiert l’équivariance des deux jeux de données.

La statistique-test utilisé est le “D”. On calcule d’abord notre Dobs (observé) ce qui revient à faire la différence des moyennes des deux groupes et par la suite on calcule les autres D en effectuant des permutations ou plutôt un réchantillonnage sans remise en gardant les même effectifs d’échantillons. 1000 ou 10 000 permutations sont suffisantes pour la distribution, il n’est pas nécessaire d’effectuer toutes les permutations possibles. La 1000 ième permutations sera notre Dobs.

On calcule notre Dobs et ensuite en effectue les 999 permutations dans R, à laquelle on ajoute la 1000 donnée qui est notre Dobs calculé au départ. Dobs = moyA-moyB ce qui nous donne notre statistique-test “D”.

La distribution obtenue nous permet de sélectionner le nombre de données supérieures ou égales à la valeur absolue de Dobs et la – la valeur absolue de Dobs. On divise ce nombre de données par le nombre total de Dpermutés ce qui nous donne la probabilité que les valeurs permutées prennent une valeur aussi extrême que le Dobs. Si cette probabilité est supérieure au alpha qui est de 5%, on est obligé d’accepter l’hypothèse nulle (H0). Si elle est inférieure à alpha qui est de 5%, on rejette (H0) et on accepte l’hypothèse contraire.

Dans le cas ou l’on accepte H0, cela veut dire que les moyennes sont égales.

Un petit D nous indique que les traitements ont le même effet sur les patients alors qu’un  D énorme nous indique que les traitements ont des effets différent sur les patients.

 

Comparaison de la variance de deux échantillons indépendants (F)

Cela revient à savoir si ils proviennent de la même population statistique.

Le test requiert plusieurs conditions:

(1) – normalité de chaque population dont provient les échantillons

(2) – variables quantitatives.

Le test de “F” obéit à une loi de Fisher-Snedecor sous H0 lorsque variancepopulation1=variancepopulation2.

C’est le rapport de deux khi carrés qui nous donne la valeur de F.

Sous H0 le rapport des variances des population nous donne 1 ce qui nous laisse le rapport des variances des deux échantillons.

Pour un test bilatéral la plus grande valeur va au nominateur, sinon pour un test unilatéral on laisse la formule tel quel, varianceéchantillon1/varianceéchantillon2.

Si le Fobs est plus petit que le Fcritique, on accepte H0.

Si le Fobs est plus grand que le Fcritique, on refuse H0 et accepte l’hypothèse contraire: les variances de l’échantillon ne sont pas égales, donc ils ne proviennent pas de la même population statistique.

 

Comparaison de la moyenne de deux échantillons indépendants (T)

Ce test nous permet de répondre à la question: si deux échantillons différents par leur moyenne, est-ce que les populations dont ils proviennent différents aussi par leurs moyennes?

Si H0 est vraie, suit distribution de student.

Conditions:

(1) – équivariance

Sous H0: (a) les deux échantillons proviennent de la même population ou (b) de population avec des moyennes identiques.

Sous H1: (a) les deux échantillons proviennent de populations différentes ou (b) de populations avec des moyennes différentes.

On effectue toujours un test de F puisque c’est la seule condition à remplir pour le test de t: c’est à dire l’équivariance.

1 – Test de F (suit loi de Fisher-Snedecor sous H0)

2- Test de t (suit loi de student sous H0)

(a) on utilise les formules nécessaires selon la taille des échantillons.

Deux formules sont disponibles, la première dans le cas ou n1 et n2 sont plus grand que 30 et la deuxième dans le cas où n1 et/ou n2 sont plus petits que 30. La deuxième formules pour les petits échantillons utilise le spd2 (la moyenne pondérée des variances) pour avoir une meilleure approximation de la variance de la population.

Pour la décision statistique, c’est le même raisonnement que pour le test de F.

Si Tobs est plus petit que Tcrit, on accepte H0.

Si Tobs est plus grand que Tcrit, on refuse H0 et on accepte l’hypothèse contraire.

 

Comparaison de la moyenne de deux échantillons appariés (T)

Est utile dans le cas ou l’on veut comparer les même données pour un traitement avant/après. Le test repose sur une différence entre chaque paires d’échantillons appariées.

Conditions:

(1)- variables quantitatives

(2)- distribution normales de di

(3)- indépendance des observations (saufs paires)

cLe test obéit à une loi de student sous H0.

La statistique-test t est égale à la moyennes des différences moins la vrai moyenne des différences, divisée par l’erreur-type, qui est égale à l’écart-type des différences divisé par la racine carré de n, où n est le nombre de paires de données.

Sous H0, la vraie moyenne des différences est égale à 0.

On calcule le t comme d’habitude avec la formule et la décision est prise comme pour le test de T et le test de F: si Tobs est inférieure à Tcrit, on accepte H0 et si Tobs est supérieure à Tcrit, on rejette H0 et accepte l’hypothèse contraire H1 (les moyennes ne sont pas égales).

 

Test non-paramétriques (U)

Ces test ne reposent pas sur les paramètres comme la moyenne, l’écart-type ou la variance etc.

Chaque test paramétrique a son équivalent non paramétrique. 

Utile en tout temps ou lorsque:

(1)- Données quantitatives non-normales (variances mal estimées)

(2)- Données semi-quantitatives

(3)- Tous les cas où les tests paramétriques sont applicables

(4)- Valide même quand n est très petit (2 ou 3).

H0: les deux groupes proviennent de populations population statique ou de deux groupes avec des populations ayants la même médiane.

H0= valeurs bien entremêlées.

H0= les rangs sont uniformément distribués, ce qui veut dire que les données ont la même probabilité de se retrouvées l’une à la suite de l’autre.

H1(bilatéral)= les rangs ne sont pas uniformément distribués.

H1(unilatéral)= probabilité que xi1 soit plus grand que xi2 est plus grande que 0.5. Le premier groupe est décalé vers les grandes valeurs.

H1(unilatéral)= probabilité que xi1 soit plus grand que xi2 est plus petite que 0.5. Le premier groupe est décalé vers les petites valeurs.

Calcul

Il existe différents test de U selon la taille de n1 et n2.

(a)Pour tous les test de U la première étape consiste à mettre les données en ordre croissant et indiquer le groupe de provenance de celle-ci. Le U1 se calcule en additionna le nombre de fois qu’un élément du groupe 2 précède un élément du groupe 1.

(1) Pour n1 et n2 plus petit ou égale à 8, U2=n1n2 – U1. Si les groupes sont séparés, U1= 0 et U2 = n1n2. H0= U1 +- = à U2 +-= à n1n2/2.

ex: n1=3 n2=4 P(U<ou=2)=0.114 (Table de U) au seuil 0.05 on ne peut rejeter H0, car la probabilité est plus grande que 0.05.

(2) Pour n1 et n2 plus petit ou égale à 20, le U1 et U2  on fait l’étape (a) mais on emploi aussi la somme des rangs. La formule est différente.

Le U est le Umin(U1,U2).

Dans la table de U on lit au alpha/2 pour un test bilatéral.

On compare le U min au U trouvé dans la table et si le U est plus grand que le U alpha (crit) on accepte H0.

(3) Pour n1 ou n2 > 20, la distributuion suit une loi normale de moyenne = n1n2/2 et d’écart-type= racine carré n1n2…

Il suffit de calculer l’écart réduit= U- moyenne de U/ écart-type de U. Le U est calculé avec la somme des rangs.

z (écart réduit) ==> table normale centrée réduite N(0(moyenne),1(écart-type)).

 

Comparaisons multiples – ANOVA (ANALYSIS OF VARIANCES)

* Robuste face à déviations raisonnables de l’homoscédasticité ou de la normalité.

*Si forte déviation = Test de Kruskal Wallis.

  • Comparaison de la moyenne de plusieurs groupes indépendants d’observations.

Principe: analyse de la variance intragroupe vs analyse de la variance intergroupe pour comparer moyennes.

Faire tests de T au lieu d’utiliser l’ANOVA, augmente l’erreur de type I (rejeter H0 alors qu’elle est vraie).

Même si on teste la différence de moyenne c’est la variance qui est analysée, on veut déterminer si la variance est trop grande pour être due à des fluctuations aléatoires.

Répond à la question: existe-t-il une variation intergroupe significative par rapport à la variation intragroupe?  ==> rapport de (variance inter/variance intra)= Fobs

Suit une loi de Fisher-Snedecor sous H0 à v1=g-1 (degrés de liberté) et v2= n-g ddl.

(1) Calculer SCE (somme du carré des écarts à la moyenne) pour la variance intragroupe et diviser par n-g ddl.

(2) (A) Calculer le SCI (somme du carré des écarts à la moyenne globale) et multiplier par ni. Diviser ensuite par g-1 ddl. C’est la variance intergroupe.

(B) Diviser variance intergroupe (SCI) par la variance intragroupe (SCE) = Fobs.

H0 vraie= variance inter et intra se ressemblent = proche de 1.

H1 = variance inter au numérateur (toujours)parce que c’est la plus grande valeur si H1 est vraie (donc s’éloigne de 1).

Toujours unilatéral.

Indique seulement si il y a une différence, mais ne dit pas dans quel groupe. Pour le savoir on utilise le test de comparaison multiple avec la statistique-test HSD (Tukey).

 

Comparaison multiples – Tukey HSD (Honest Significant Difference)

  • Permet de déterminer dans quel groupe il y a une différence significative              (où se situe la différence).
  • Plus puissant qu’ANOVA pour valeurs asymétriques ou aberrantes.

statistique test HSD = q *  la racine carré de la variance divisée par n ou n = au nombre d’observations par groupes.

Mêmes conditions que l’ANOVA.

Calcul

(1) Calculer les différences pour chaque paires de moyennes.

(2) Extraire q alpha de la table pour g groupes et n-g ddl.

(3) Calculer valeur de HSD.

(4) Si la valeur absolue de la différence d’une paire de moyenne est supérieure à la statistique HSD, la moyenne est différente au seuil alpha.

Test de Kuskal Wallis – (Test non-paramétrique de l’ANOVA)

*Extension du test de U à g groupes.

 Détermine si les rangs moyens des éléments des g groupes (Yg) sont différents.

(1) Classe valeurs en ordre croissant.

(2) rang ex aequo = rangs moyens comme avant.

(3) Valeur observée (statistique-test H) est calculée avec la formule.

 

Test de Levene – Test d’homogénéité des variances (Homoscédasticité)

H0: les dispersions des groupes sont égales.

H1: les dispersions des groupes ne sont pas toutes égales.

Conditions:

(1) Normalité des g distributions.

(2) Indépendance des observations.

 

Test du Khi2

 

Radioactivity – Inside The Atom (French & English)

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(English)

Atoms which according to Leucippus, inventor of the word “Atomos” which means “indivisible”, is the smallest part of the matter. The radioactive phenomenon is caused by an alteration that occurs at the heart of the cores compared to a chemical change that occurs at the level of the electrons of the atom.

Chemical change tend to be easily reversible while the change involving radioactive emission are irreversible.

Chemical reactions release a significant amount of energy while the nuclear reactions release up to 1 000 000 million times more energy than it.

Electron

The atom is composed of electron, proton and Neutron. The proton has a positive charge, the electron a negative charge and the neutron a neutral charge that allows the cohesion of the nuclei. It is thanks to researchers, the English William Crookes (1832-1919) and the French Jean Perrin (1870-1942), using a cathode ray tube which was later renamed “Crookes Tube”, they could determine the electron charge when placing a magnet between the point of impact and to enter it.

PROTON

The mass of the proton  is 1840 times greater then the mass of the electron, the proton him has a positive charge. It is through the experience of Ernest Rutherford (1871-1937) who has bombarded a thin sheet of gold with positive particles (alpha particle) to see the result of the impact on a screen placed behind the sheet. In 99.9% of cases the particles were not deflected, which led him to the conclusion of the existence of a nuclei dense positive particle : the proton, around which revolve a small cloud of electron. In most cases, the particles encountered no obstacles on the way and when it did it was back to the source or changed trajectory completely.

NEUTRON

Chadwick (1891-1974), proves the existence of the neutron which allows the cohesion of the nuclei, which because of positive particles should explode under the force of repulsion normally.

RADIOACTIVE

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We can observe three types of radioactive emissions : Alpha, Beta and Gamma. 

The alpha emission are also called Alpha decay because during the disintegration of the nuclei, it is four particles, two proton and two neutron representing a nuclei of helium 4, which are expelled from the nuclei with a positive charge + 2. They only need a sheet of paper or the hand to be stop. It is at a speed between 4 000 and 40 000 Km/s that these particles travel. These rays are not very penetrating.

The released beta emission are electrons which travel at a speed near 300 000 Km/s. They have a negative charge + 1 and require at least a plank of wood from 2.5 cm to be stop. These are little penetrating rays.

Gamma emission are not particles but waves that travel at the speed of light (300,000 Km/s), they are very penetrating because only thick concrete wall or a lead plaque can the stopping. They have no charge, it is zero.

So that is all for this article, in a next section I will talk more in depth of the exciting subject that is radioactivity. I hope you enjoy and if you have any questions or you think I committed a mistake, any, feel free to leave me a message. Thank you.

Jordan Landao

(French)

La matière, est composé d’atome qui selon Leucippe, inventeur du mot ”atomos” qui signifie ”indivisible”, en est la plus petite partie. Le phénomène Radioactif est causé par une altération qui se produit au coeur même du noyaux comparé à un changement chimique qui lui se produit au niveau des électrons de l’atome.

Les changement chimique ont tendance a être facilement réversible tandis que les changement impliquant des émission radioactives  sont irréversibles.

Les réactions chimiques libèrent une quantité importante d’énergie tandis que les réactions nucéaires libère jusqu’à 1 000 000 million de fois plus d’énergie que celle-ci.

ÉLECTRON

L’atome est composée d’électron, de proton ainsi que de neutron. Le proton possède une charge positive, l’électron une charge négative et le neutron une charge neutre qui permet la cohésion du noyaux. C’est grâce aux chercheurs, l’anglais William Crookes (1832-1919) et du Français Jean Perrin (1870-1942), qui à l’aide d’un tube cathodique qui fût plus tard rebaptisé ”Tube de Crookes”, qu’ils ont pus déterminer la charge des électrons lorsqu’il placaient un aimant entre le point d’impact et le point d’entrer de celui-ci.

PROTON

La masse du proton est 1840 fois plus grande que celle de l’électron, le proton lui possède une charge positive. C’est grâce à l’expérience de Ernest Rutherford (1871-1937) qui consistait a bombarder une mince feuille d’or avec des particules positives (particule alpha) et de regarder le resultat des impact sur un écran placé de l’autre côté de la feuille. Dans 99,9% des cas les particules n’étaient pas déviées, ce qui l’amena à la conclusion de l’existance d’un noyaux dense de particule positive : les proton, autour duquel gravitent les électron. Dans la plupart des cas, les particules ne rencontraient aucun obstacle en chemin et lorsque c’était le cas elles était renvoyer vers la source ou changeaient complètement de trajectoire.

NEUTRON

C’est Chadwick (1891-1974) qui prouve l’existance du neutron qui permet la cohésion du noyaux, qui à cause des particules positives devrait exploser sous la force de répulsion normalement.

ÉMISSIONS RADIOACTIVES

Nous pouvons observer trois type d’émissions radioactives : les émissions Alpha, Béta et Gamma.

Les émission alpha sont aussi appellée désintégration Alpha car lors de la désintégration du noyaux, c’est quatre particules dont deux proton et deux neutron qui représentent de l’hélium 4 qui sont explusées du noyaux avec une charge positive +2. Cette émission nécéssite seuleument une feuile de papier ou la main pour être stopper. C’est à une vitesse entre 4 000 et 40 000 Km/s que ces particules voyages. Ces rayons sont très peu pénétrant.

Les émission béta sont des électrons qui voyagent à une vitesse près de 300 000 Km/s. Ils possèdent une charge négative +1 et nécéssitent au moins une planche de bois de 2,5 cm pour être stopper. ce sont des rayons peu pénétrant.

Les émission gamma ne sont pas des particules mais des ondes qui voyagent à la vitesse de la lumière (300 000 Km/s), ils sont très pénétrant car seul un mur de béton épais ou une plaque de plomb peuvent les arrêtter. Ils ne possèdent aucune charge, elle est nulle.

Alors ce sera tout pour cet article, dans un prochain arcticle je parlerai plus en profondeur du sujet passionnant qu’est la radioactivité. J’espère que vous avez aimer et si vous avez des questions ou vous pensez que j’ai commis une quelquonque erreur, n’hésitez pas à me laisser un message. Merci.

Jordan Landao

Algebra – Binomials & Polynomials – Addition and Substraction

addfractionsBinomial – Addition
We all know how to make an addition with any regular number, so here is a tutorial on how to make an addition with a Binomial.

x² – 2²  +  9x² – 2²
2(x+2)       (x+2)

The first thing to do is to simplify the numerator of both fraction :

1)
x² – 1  =    (x – 2) (x + 2)
2(x+2)              (x+2)

and now the second fraction :

2)
9x² – 2² =  (3x – 2) (3x + 2)
  (x+2)               (x+2)

So now we have :

=  (x – 2) (x + 2)   +  (3x – 2) (3x + 2)
         2(x+2)                      (x+2)

(x + 2) is a common factor for both fractions and if you look a little more closer you can see that you can simplify  (x +2) for the first one :

= (x -2) (x + 2)  + (3x – 2) (3x + 2)
        2(x + 2)                (x +2)

And now to make an addition of these term, we multiply them by the missing term in the denominator just like this :

(x -2) x (x +2)   + (3x – 2) (3x + 2) x 2
       2 x (x+2)                  (x + 2) x 2

= (x² + 2x – 2x – 4) + (18x² + 12x + 12x +8)
2(x+2)

= 19x² + 24x + 4
         2(x + 2)           

Voila.

I hope that you liked it and that it was really useful. Next time i will make a tutorial with a polynomial with substraction thank you for reading this and don’t hesitate to leave a comment if there is any error or if you need explanation.

Jordan Landao

Algebra – Binomials and Polymials – Basics

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Monomial

Here is a quick tutorial on how to factor a Binomial and a Polynomial.

The first thing to do is to find a common term within the equation and it depend on what kind of equation you have, for exemple let’s start with an easy Binomial :

49x²-9y² 

here to simplify we can transform 49 to (7²) because (7×7) equal (49) and in order to factorize this Binomial we need at least to perfectly divide it in this case,  because there is no common factor between them.

And we can do the same for 9 which is (3²).

Now we have (7²x² – 3²y²) and what we gonna do here is to split it in two equal Binomial :

= (7x + 3y) x (7x – 3y)

Let’s see if we have the correct anwser :

  (7x + 3y) x (7x – 3y) =

= (49x² – 21xy + 21xy – 9y²)  and   (-21xy + 21xy = 0)

= (49x² – 9y²)

So the anwser is (7x + 3y) x (7x – 3y).

The reason why we could split it in two is because of the negative sign ”-”. 

If we had (49x² ”+” 9y²) it would be another equation.

(49x² ”+” 9y²) =

= (7²x² + 3²y²) 

= (7x + 3y) (7x + 3y) =

= (49x² + 21xy + 21xy + 9y²)

= (49x² +42xy + 9y²). Voila.

 

Polynomial

Now let’s try with a Polynomial :

(-3x²yz² -6xyz + 4x³yz² + 8x²yz) =

-3xyz(xz + 2) 4x²yz(xz + 2) =

(-3xyz + 4x²yz) (xz +2) =

= xyz(4x – 3) (xz + 2). Voila.

So that’s it for this little tutorial, next time i’ll do something a little bit more complicated with addition, substraction, division and multiplication.

Hope you liked it and if a made any error, nobody gonna die, just tell me :). 

 

Jordan Landao

Basic With History of the Atom – Atom Discovery

Atom Discovery ”Atomos”

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History of the atom

The word Atom mean ” indivisible” which come from the old Greek ”Atomos”, a word created by ”Leucipe” (460-370 B.C) who claim that all the matter surrounding us is made of tiny particle, so little that they cannot be separated nor seen with the eye.

Democritus (460-370 B.C) his disciple said some years later that not only the matter is made of tiny particle can combine togheter and that there is ”space” between them. They cannot be separated but still they are.

Aristotle (384-322 B.C) and Empedoclus (490-435 B.C), even if they were great thinkers at the time, did not approve the theory started by Leucippus and followed by his disciple Democritus. Instead, they believed that matter was made of four basic elements : Water, Wind, Earth, Fire, and the different combination of them can create any substance, that we are made of these element, we, human being and animals too, under the action of the four fundamental which are  Hot, Dry, Wet and Cold.

John Dalton (1766-1844) came with the idea, after numerous observation and experience, that there is two distinct type of elements composing the matter or any substance : elements and compounds.

Elements are made of the same (single or more) atoms while Compounds are made of different atoms (at least two) sticking togheter by bond. Compounds are either Monoatomic (alone, Ne, Na) or Diatomic (by set of two, Ne2, Cl2, O2). The elements of the same type have the same mass while, the others elements have a different mass.

I tried to the best of my actual english vocabulary to explain everything correctly. Thank you very much for reading my article and i will be back with more food for the brain, i hope that you liked it.

Jordan Landao

Nuclear Fusion – Fusion Nucléaire

(ENGLISH)

NUCLEAR FUSION

1991_fusion

Nowadays, it is clear that this is more than a matter of time. What is it? The nuclear fusion of course! Clean energy, safe for humans and produces phenomenal amounts of energy just.

No one has yet managed to maintain this nuclear reaction is effectively merging, but research we demonstrate that it is a dream that will soon become a reality.

This technology is fascinating, because it is a simple solution that even if it poses a few problems at the level of heat according to the most ancient studies (which is no more a problem), it is harmless to human beings human as well as the environment, providing both large quantities of energy.

Nuclear fusion is a phenomenon that is not spontaneous. The Sun is used as a model to create thermonuclear fusion, which may exceed the 150 000 000 degrees Celsius within the Sun.

It is a simple process that is totally opposite to the merger: deuterium and the lithium6 * (who at the absorption of a neutron in the nucleus turns into tritium) fusion is possible in the reactor or as long as the requirements are applied, continues:

  • * Deuterium deuterium → (Helium-3) + (neutron) + energy
  • * Deuterium deuterium → (Tritium) + (proton) + energy
  • * Deuterium + tritium → (Helium 4) + (neutron) + energy
  • * deuterium, helium 3 → (Helium 4) + (proton) + energy
  • * for the Lithium6 *.

nuclear fusion

Nuclear fusion

Nuclear-Fission-vs-Fusion
The Tritium is an isotope of hydrogen that at the level of its availability on Earth is found in enough quantity to supply the Earth with energy for 100 000 000 million years (1 cubic meter of water can provide as much energy as the burning of 700 tonnes of oil. It is 3 to 4 times more energy that can be produced by the fusion of light atoms for the same mass of fuel used for nuclear fission.

Some applications & comparison

I’m of the opinion that the fusion (cold fusion) has many applications and is the future, because it is much more advantageous that classic, even if merging others stubbornly want to continue their dangerous experiments on fission: they have totally wrong to want to continue such experiments, knowing the risks to human nature and the species.

  1. Firstly due to the fact that it emits no radiation, toxic waste and that it is not dangerous or harmful to the environment or to human beings human.
  2. Secondly, it can be implemented anywhere: whether in our homes, in our cars, buses, boats or planes with this new technological innovation there is no risk,. Unlike fossil fuels.
  3. And thirdly, it is a whole arsenal of devices that could benefit from… cold fusion! Cold fusion is a reaction that can be caused at room temperature, unlike the merge that you could say classic. It requires very little energy and is carried out at room temperature. They are safe (fusion and cold fusion), because in case of accident, the temperature is quickly returning to normal and elements present in the reactor are escaping into the air that already contains, so they produce no damage.

I am for the use and research into nuclear fusion, because even if some are of the opinion that this is always that fairytale despite all evidence, including cold fusion recently, discovered the huge amounts of energy produced by the attempts of failed mergers * and the many benefits of this technology which emits no pollutant harmful to health or the environment or nuclear waste further, it is a reality that we must accept and stop using fossil fuels or radioactive energy although it is masteredto live in a better world. I hope that humanity can move in the right direction as many of us.

When will we finally understand?

Jordan Landao

(FRENCH)

LA FUSION NUCLÉAIRE

De nos jours, c’est évident que ce n’est plus qu’une question de temps. De quoi s’agit-il? De la fusion nucléaire bien sûr! Une énergie propre, sans danger pour l’homme et qui produit des quantités d’énergie phénoménales tout simplement.

Personne n’a encore réussi à maintenir ce mode de réaction nucléaire qu’est la fusion de manière efficace, mais les recherche nous démontrent que c’est un rêve qui deviendra bientôt une réalité.

Cette technologie est fascinante, car c’est une solution simple qui même si elle pose quelques problèmes au niveau de la chaleur selon les plus anciennes études (ce qui n’est plus un problème), elle reste inoffensive pour les êtres humains ainsi que l’environnement en procurant à la fois de grandes quantités d’énergie.

La fusion nucléaire

La fusion nucléaire est un phénomène qui n’est pas spontané. Le soleil est utilisé comme modèle pour créer la fusion thermonucléaire, qui au sein du soleil peut dépasser les 150 000 000 de degrés Celsius.

C’est un procédé simple qui est totalement inverse à la fusion : c’est avec du deutérium et du lithium6* (qui lors de l’absorbation d’un neutron dans le noyau se transforme en tritium) que la fusion est possible dans le réacteur ou tant que les conditions requises sont appliquées, se poursuit :

  • * Deutérium + deutérium → (Hélium 3) + (neutron) + énergie
  • * Deutérium + deutérium → (Tritium) + (proton) + énergie
  • * Deutérium + tritium → (Hélium 4) + (neutron) + énergie
  • * deutérium + hélium 3 → (Hélium 4) + (proton) + énergie
  • * Pour le Lithium6*.

nuclear fusion

Le Tritium est un isotope de l’Hydrogène qui au niveau de sa disponibilité sur terre, est retrouvée en quantité assez suffisante pour alimenter la terre en énergie pendant 100 000 000 millions d’années (1 mètre cube d’eau peut fournir autant d’énergie que la combustion de 700 tonnes de pétrole. C’est 3 à 4 fois plus d’énergie qui peut être produite par la fusion d’atomes légers pour la même masse de combustible utilisée pour la fission nucléaire.

Certaines applications & Comparaison

Je suis d’avis que la fusion (la fusion froide) possède de nombreuses applications et est l’avenir, car elle est beaucoup plus avantageuse que la fusion classique, même si d’autres s’entête à vouloir poursuivre leur expérimentations dangereuses sur la fission nucléaire : ils ont totalement tort de vouloir poursuivre de telles expérimentations, connaissant les risques pour la nature et l’espèce humaines.

  1. Premièrement dû au fait qu’elle n’émet aucune radiation, déchet toxique et qu’elle n’est pas dangereuse ou nocive pour l’environnement ou pour les êtres humains.
  2. Deuxièmement, elle peut être implantée n’importe où : que ce soit dans nos foyers, dans nos voitures, dans les autobus, les bateaux ou les avions avec cette nouvelle innovation technologique il n’y a aucun risque, contrairement au combustibles fossiles.
  3. Et troisièmement, c’est tout un arsenal d’appareils qui pourraient bénéficier de la fusion… froide! La fusion froide est une réaction qui elle peut être provoquée à température ambiante, contrairement à la fusion que l’on pourrait dire classique. Elle ne requiert que très peu d’énergie et se réalise à température ambiante. Elles sont sans danger (fusion et fusion froide), car en cas d’accident, la température est vite de retour à la normale et les éléments présents dans le réacteur s’échappent dans l’air qui en contient déjà, donc ils ne produisent aucuns dégâts.

Je suis pour l’utilisation et la recherche sur la fusion nucléaire, car même si certains sont d’avis que ce n’est toujours qu’un conte de fée malgré toutes les preuves, notamment la fusion froide découverte récemment, les quantités énormes d’énergie produites par les tentatives de fusions ratées* et les nombreux bienfait de cette technologie qui n’émet pas de polluant nocif pour la santé ou l’environnement ou de déchet nucléaire quelquonques, c’est une réalité qu’il faut accepter et cesser d’utiliser les combustibles fossile ou l’énergie radioactive même si elle est maîtrisé, pour vivre dans un monde meilleur. Je souhaite que l’humanité puisse avancer dans la bonne direction comme beaucoup d’entre nous.

Quand comprendrons-nous enfin?

Jordan Landao

BIBLIOGRAPHIE

TRITIUM – Wikipedia

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La fusion nucléaire dans un appartement http://lefilpresse.wordpress.com/2012/11/09/la-fusion-nucleaire-dans-un-appartement/

LE TRITIUM C’EST QUOI ? http://www.cnsc-ccsn.gc.ca/fr/readingroom/tritium/tritium_studies_faq.cfm

Fission et fusion nucléaires http://bambou254.over-blog.com/article-fusion-nucleaire-energie-propre-et-sans-danger-45417713.html

LA FUSION NUCLÉAIRE